Hier, à l'occasion de la présentation de ses premiers résultats, Pierre Gadonneix, le patron d'EDF, a répondu en élève discipliné à son ministre : l'entreprise sera prête dès le mois d'octobre. Et tant pis pour Areva qui, à l'origine, devait s'intercaler entre GDF et EDF. Mais Thierry Breton a décidé de faire patienter le groupe d'Anne Lauvergeon au moins jusqu'en 2006.
Pourquoi cette mise au placard ? «Breton a des doutes sur la pertinence d'ouvrir le capital d'une entreprise comme Areva, avec des métiers sensibles dans le nucléaire», dit-on dans les couloirs de Bercy. Bizarrement, les états d'âme du ministre ne s'appliquent pas à EDF, pourtant opérateur du premier parc nucléaire du monde. (…)
Lire tout l'article sur www.liberation.fr
Articles les plus récents :
- 21/10/2005 19:01 - Assurance-chômage des intermittents : 1 milliard de déficit
- 20/10/2005 00:29 - Temps de travail : la France dans la moyenne européenne
- 17/10/2005 17:05 - Défaillances d'entreprises, niveau record en France pour 2005
- 16/10/2005 00:26 - Conseil d'Etat : vers une validation du CNE ?
- 29/08/2005 17:24 - Des chômeurs argentins inventent l'entreprise solidaire
Articles les plus anciens :
- 26/11/2004 16:32 - Salariés malades, restez chez vous SVP !