
Egalement interrogés par BVA sur leur appréciation des effets de l'Europe dans le passé, les salariés jugent à 52% que l'Union européenne a eu "jusqu'à présent" un "impact négatif" sur "l'emploi en France", 18% jugeant cet impact "positif" et 28% y voyant un impact nul.
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Commentaires
"Ne faisons pas le choix d'un repli. La protection, ce n'est pas les limites de nos frontières, c'est la force du continent (…) Dans ce débat européen, ne soyons pas frileux, ne soyons pas frigides, ayons confiance dans les forces de la France".
"Ne nous laissons pas enfermer dans l'égoïsme, dans l'individualisme (…) Je ne peux pas me résigner à dire à des peuples frères (les ex-pays de l'Est) votre marché nous intéresse, mais on n'a pas envie de partager avec vous. On n'a pas à avoir peur des autres (…) L'avenir est aux personnes et aux pays généreux".
Grâce à Jean-Pierre Raffarin, le "non" progresse ! Répondre | Répondre avec citation |
La loi de Finances pour 2005 avait prévu de consacrer 25 millions d'euros à la campagne référendaire, auxquels est venu s'ajouter un crédit supplémentaire de 39,3 millions d’euros dans le collectif budgétaire 2004. Les sommes restantes figureront dans la loi de Finances rectificative pour 2005.
L’impression des 202 millions de bulletins de bulletins «oui» et «non», dont la moitié destiné aux bureaux de vote, et le tirage à 46,2 millions d'exemplaires du volumineux traité figure parmi les plus gros budgets. Quelque 35 millions d'euros à eux seuls. Le texte sera envoyé à tous les électeurs, accompagné d'un fascicule comprenant le texte de la question posée, le décret soumettant le projet de loi au référendum, le projet de loi de ratification du Traité et son exposé des motifs. Par ailleurs, l'acheminement du matériel aux électeurs, qui devrait être achevé le 14 mai, coûtera environ 55 millions d'euros. Ce marché a été attribué à la Poste.
La campagne officielle, avec pour la première fois un financement public de 800.000 euros maximum pour chacun des huit partis habilités à y participer, coûtera de 9,5 à 10 millions d'euros. Enfin, le coût des opérations électorales, telles que la mise sous enveloppe, réalisée par les préfectures, et la subvention forfaitaire versée aux communes pour l'organisation du scrutin sera d'un peu plus de 25 millions d'euros. Aux 130 millions d'euros s'ajoutent les crédits du budget du ministère des Affaires étrangères pour «l'information civique», notamment la mise en consultation du Traité dans les lieux publics.
(Source : LExpansion.com) Répondre | Répondre avec citation |