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Accueil Social, économie et politique Le nouveau ministre a déjà supprimé 27.000 emplois

Le nouveau ministre a déjà supprimé 27.000 emplois

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L'ancien PDG de France Télécom Thierry Breton, nommé hier par Chirac & Raffarin nouveau ministre des Finances suite au scandale Gaymard, a "supprimé plus de 27.000 emplois" dans l'entreprise et "se trouve promu à Bercy" après avoir "privatisé France Télécom", a affirmé ce matin la fédération Sud PTT dans un communiqué.

"La situation réelle de l'entreprise et le vécu quotidien du personnel sont loin de l'image du sauveur providentiel et d'homme d'ouverture dont Thierry Breton aime à se parer", "Thierry Breton a supprimé plus de 27.000 emplois, ce qui s'est traduit par des réorganisations en cascade et une augmentation sans précédent de la pressions sur le personnel", écrit le syndicat. Pour Sud, M. Breton "n'aura fait qu'un passage éclair à la tête d'une entreprise", puisqu'"ayant rempli sa mission de privatiser France Télécom, il se trouve maintenant promu à Bercy".

"Malgré cette politique drastique d'austérité, France Télécom conserve néanmoins une dette de 44 milliards d'euros, entraînant le versement de frais financiers équivalent à plus de la moitié de la masse salariale", dénonce-t-il. "Il laisse une entreprise qui peine à définir sa stratégie au sein d'un secteur en plein bouleversement".

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Mis à jour ( Samedi, 26 Février 2005 15:15 )  

Commentaires 

 
0 # superuser 2005-02-26 14:42 Thierry Breton, un redresseur d'entreprises au profil politique à Bercy

25/02 (AFP) 20:54
Thierry Breton, dont la carrière s'est faite au chevet d'entreprises malades, Bull puis Thomson Multimédia, avant de s'attaquer au plan de redressement de France Télécom, est un manager qui a aussi un profil très politique.

Il est proche à la fois de Jacques Chirac et de Jean-Pierre Raffarin, au côté duquel il a siégé au conseil régional de Poitou-Charentes de 1988 à 1992.
Son nom avait déjà été largement évoqué il y a trois mois pour la succession de Nicolas Sarkozy.

Avec son abondante chevelure brune bouclée et sa mèche énergique, le patron de France Télécom conserve à 50 ans une allure juvénile. Il a aussi un goût prononcé pour les termes anglais et les phrases au débit accéléré. Travailleur acharné, féru de technologies et écrivain de science-fiction à ses heures perdues, c'est un homme de réseau et une figure forte des chefs d'entreprises français, qu'il fréquente notamment au sein de l'Association Entreprises et Cité.

Relativisant son action de redressement de trois fleurons français de la high-tech, ses détracteurs soulignent qu'il n'a jamais orchestré ces chantiers jusqu'à leur terme, M. Breton ayant à chaque fois quitté avant terme une entreprise pour être appelé à prendre la direction d'une nouvelle.

Pendant cinq ans à la tête de Thomson Multimédia (TMM) - entreprise qu'Alain Juppé, alors Premier ministre, avait jugé ne valoir "même pas un franc" - Thierry Breton a été aidé par les 11 milliards de francs (1,68 md d'augmentation de capital que le gouvernement de Lionel Jospin avait consenti en 1997. Mais il s'est félicité d'avoir fait récupérer à l'Etat bien plus que ce montant.

Né le 15 janvier 1955 à Paris, cet ingénieur de l'Ecole supérieure d'électricité (Supelec) a été de 1976 à 1981 successivement professeur au lycée français de New York, dirigeant de plusieurs petites entreprises informatiques et auteur de romans comme "Vatican III" ou "Netwar".
Thierry Breton doit une grande partie de son ascension à René Monory dont il fut conseiller technique au ministère de l'Education nationale, et à qui il souffla l'idée du Futuroscope de Poitiers, avant de devenir chef du projet jusqu'en 1990.

Chez Bull, Thierry Breton se fait l'artisan d'un renflouement progressif et de l'entrée de partenaires industriels, convainquant le gouvernement d'Edouard Balladur de ne pas brader le groupe informatique par une revente précipitée.

A la tête de TMM, il impose l'image d'un gestionnaire rigoureux et survolté, entre programmes de restructuration permanents - sans impact sur les effectifs globaux grâce à la croissance du groupe - et réorientation du groupe hors de l'électronique grand public.

Mais c'est à la tête de France Télécom que ses capacités à orchestrer un redressement sont encore plus manifestes, avec la mise en place d'un plan de renflouement d'une ampleur sans précédent. Après avoir pris en octobre 2002 les rênes du colosse fragilisé par 12 milliards d'euros de pertes et une dette record de 70 milliards, Thierry Breton a concocté un plan de redressement drastique, prévoyant de dégager quelque 45 milliards d'euros sur trois ans.
M. Breton quitte France Télécom aux deux-tiers du chantier de redressement, en ayant également vécu une autre étape historique pour le groupe et pour l'Etat : la privatisation de France Télécom.
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0 # ylenorm 2005-02-28 21:23 Pour ceux qui ne le savent, le futuroscope de Poitiers est une parfaite illustration de l'illusion que quand c'est par le privé c'est bien, quand c'est géré par le public, ce n'est pas bien. Au départ, la gestion et l'exploitation du futuroscope de Poitiers ont été cédées au privé car "le public ne sait pas gérer une entité économique". Mais, après quelques années de déficit, le "privé bon gestionnaire" a préféré jeté l'éponge et laissé aux Collectivités Locales la gestion et l'exploitation du futuruscope de Poitiers. Je n'entends pas souvent cet exploit à la télé, on dirait qu'"ils" en ont honte.
Autre chose, Thierry Breton touchait à peu près 1,300Million d'€ de salaires (environ 200 000€/mois) en tant que pdg de France Télécoms, plus les stocks-options, qu'il a voulu mettre en place, sous prétexte qu'il est le seul pdg d'une entreprise de la taille de FT mondiale à ne pas en avoir (en même temps que les cadres dirigeants). Michel Bon, quand il était pdg de FT, touchait à peu près 200 000FF/mois . Donc, le salaire de Thierry Breton était donc 6 fois le salaire de l'ancien pdg Michel Bon -au pire. Est ce que la qualité du service rendu par France Télécoms a été améliorée par 6 entre les 2, du point de vue du consommateur ? Je viens de recevoir ma facture : je paie pour presque 30€ d'abonnement, pour moins de 4€ de consommation. Cela se passe de commentaire. Les privatisations ont donc été pour les pdg choisies de multiplier par 4 ou plus leurs salaires du jour au lendemain (pour Elf, c'était par 4 je crois). Au niveau des inégalités, la France est effectivement en train de rattraper son retard par rapport aux Etats-Unis.
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0 # Yves 2005-02-26 18:02 Breton est le "génial" artisan des nouveaux tarifs de France Télécom :

+23% sur l’abonnement et - 26% sur les communications (annoncés il y a quelques semaines).

Ce sont donc les « petits » qui vont payer. Explications toutes simples :

France Télécom baisse le coût des appels. Premiers gagnants : les gros consommateurs de communications. Logique !!!

France Télécom augmente l'abonnement. Premiers perdants : toutes celles et tous ceux qui ont un abonnement FT mais qui utilisent peu voire pas du tout leur téléphone en émission d'appels.

Et il y a un paquet de chômeurs/précaires qui ont aujourd'hui un téléphone "passif" pour des raisons financières. Eh bien, ils passeront à la caisse quand même !!!!

Et puis, souvenez-vous, c’était le 7 février dernier (extrait du site) :

…/…

La fédération Sud PTT a déploré jeudi dans un communiqué que les actionnaires de France-Télécom touchent plus d'un milliard d'euros de dividendes pour 2004 alors que cette somme, selon elle, "aurait pu servir à développer l'emploi, augmenter les salaires, diminuer la dette ou investir".

"La direction de France Télécom a décidé de répondre aux attentes des marchés financiers : 1,18 milliard d'euros vont être distribués aux actionnaires au titre de l'exercice 2004, soit le double de l'année précédente", relève Sud.

"1,18 milliard équivaut à plus d'un sixième de la masse salariale du groupe en France soit l'équivalent d'environ 20.000 emplois", précise ce syndicat, rappelant les "5.000 suppressions d'emplois en France et 7.000 à l'étranger en 2004" et "les 5.500 suppressions d'emplois et 2.500 à l'étranger annoncées en France pour 2005".

…/…


La carotte aux gros, le bâton aux petits !!!

Monsieur Breton appliquera certainement cette bonne vieille recette ultralibérale pour redresser les comptes de la Nation… et plomber un peu ceux du chômage, de la précarité et des baisses de salaires.

Ça promet !!!
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0 # Pataquès 2005-02-27 00:55 Est-ce de cette manière que l'on dirige l'économie d'un pays ? Voir se succéder en 2 ans quatre ministres de l'Économie ? Mer, Sarkozy, Gaymard, Breton… et qui sera le prochain ?

Ça ressemble à s'y méprendre à la valse des entraîneurs du PSG !

Je reconnais que la comparaison est audacieuse mais comment voulez-vous constituer une équipe gagnante à ce petit jeu des chaises musicales, à ce zapping des décideurs, à ce bêtisier managérial !

Prenons Breton. Bon, lui, il arrive, mais en arrivant il quitte France Télécom et la mission qui lui était confiée. Il "abandonne" ce navire en cours de restructuration , alors que l'entreprise est plombée par une dette de 44 milliards d'euros. Drôle de façon de renflouer le bateau. Le capitaine du Titanic avait, lui, eu le "bon goût" de sombrer avec…

Prenons Gaymard. Non, lui, il n'a même pas eu le temps de poser ses valises dans son 600 m2… que le voilà contraint de réintégrer son "minable" 200 m2 du Boulevard St Michel.
Ah si, quand même, il a trouvé le temps d'être élu par ses pairs (lors d'un pince-fesses au Sénat), "Révélation politique de l'année 2004" (ça ne s'invente pas !).

Bon, ben alors, passons à Sarkozy qui déboulait du ministère de l'Intérieur. Après quelques annonces fracassantes, notamment sa fameuse baisse des prix (qui n’a pas soulagé mon portefeuille), le voilà à la tête de l'UMP.

Et Mer… Francis Mer… Qui c'est celui-là déjà ? Il m'a laissé un souvenir tellement impérissable que je ne suis même pas sûr de l'orthographe de son nom… Qu’est-ce qu’il a fait comme connerie Francis Mer pour être débarqué ?

…/…

Et en Bonus Track, une autre prime à la casserole :

Fillon, François Fillon (rien à voir avec l'économie celui-là, d'accord).

Fillon, ex-ministre de l'Emploi et du Travail, l'homme qui a signé le décret d'application de la nouvelle convention d'assurance-chômage, celle qui prévoyait le recalcul des droits de 815.000 chômeurs, vous savez bien, les fameux Recalculés dont on a parlé l'année dernière.

Bilan : Des dizaines de procès intentés par les Recalculés contre l'Assédic et l'Unedic, une décision négative (pour l'État) de la part du Conseil d’État, une réintégration finalement annoncée en catastrophe par Borloo (son successeur) après la débâcle des Régionales, 2 milliards déboursés par l'État dans cette affaire !!!

Beau résultat !

Quelques mois plus tard, Fillon, nouveau ministre de l'Éducation… et des dizaines de milliers de lycéens sont dans la rue !!!

On a évité le pire : Ce "grand homme" était pressenti un temps pour occuper Matignon !

…/…

Non mais franchement, vaut mieux en rire, non ?
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0 # Yves 2005-02-28 13:51 Bercy ne s'économise pas une polémique

L'arrivée au ministère de Thierry Breton lance le débat sur un possible conflit d'intérêts entre son parcours d'industriel et ses nouvelles fonctions.

Thierry Breton recevra ce midi (lundi 28/02/05) les clés de Bercy des mains d'Hervé Gaymard. Le démissionnaire, revenu de Savoie où il a passé le week-end, et l'ex-patron de France Télécom devraient sacrifier au rite : éloge du partant et voeux de réussite pour l'impétrant. Thierry Breton en aura besoin. Son arrivée à la tête ministère de l'Economie, des Finances et de l'Industrie est déjà l'occasion d'une polémique. Elle a été lancée hier par le député PS Arnaud Montebourg sur Europe 1 : «Il va falloir que M. Breton nous dise où il en est par rapport à sa société _ s'il reste administrateur, s'il est toujours actionnaire _ et puis, par ailleurs, je souhaite (…) qu'il ne puisse pas avoir partie liée au dossier de France Télécom dans l'avenir.» A l'UMP, Pierre Méhaignerie, député de l'Ille-et-Vilaine, tout en louant sur France Inter le «dynamisme et la créativité» de Thierry Breton, a pointé le conflit d'intérêt possible entre le fait d'être le ministre de tutelle de l'Industrie et ses anciennes fonctions de patron d'un groupe dont l'Etat est actionnaire à 40 %. En outre, Breton est administrateur de Thomson, Schneider Electric et de la banque franco-belge Dexia. «Je crois que l'homme a suffisamment d'expérience pour se rendre compte de ce danger et confier toute cette responsabilité à M. Devedjian, (ministre délégué à l'Industrie, ndlr) qui a fait preuve dans ce domaine de beaucoup d'autonomie politique.»

Batailler. Or les affrontements n'ont pas manqué entre Patrick Devedjian et le patron de France Télécom. Après avoir secoué l'opérateur sur le tarif des SMS et la concurrence dans la téléphonie mobile, le ministre délégué à l'Industrie a bataillé contre Breton en janvier sur la question de la hausse de l'abonnement au téléphone fixe, 23 % sur trois ans. Le sujet a donné lieu à quelques tête-à-tête houleux, en janvier. La semaine passée, un autre thème était au programme : les freins au changement d'opérateur dans la téléphonie mobile. Ce qui, chez France Télécom, valait à Devedjian le sobriquet de «ministre des consommateurs et des concurrents». (…)

Lire tout l'article sur liberation.fr
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0 # Yves 2005-03-01 16:56 LE MONDE | 01.03.05 | 13h34

Transparence, modestie, continuité de l'Etat : tel semble être le triple mot d'ordre du nouveau ministre de l'économie et des finances, Thierry Breton, qui prenait ses nouvelles fonctions, lundi 28 février, à Bercy. Ou comment faire oublier au plus vite l'affaire de l'appartement qui a provoqué le départ de son prédécesseur, Hervé Gaymard.

A midi, ce fut la dernière épreuve publique et la dernière bousculade médiatique pour l'ancien ministre. Accueillant M. Breton par un sobre "bienvenue chez toi", M. Gaymard s'est entretenu pendant une demi-heure en tête à tête avec son successeur, avant de partir déjeuner avec Jean François-Poncet, un ami, "pour parler d'autre chose".

Dès le début de l'après-midi, l'entourage de M. Breton faisait savoir que ce dernier avait cédé, dimanche, ses 11.000 actions de France Télécom, une "décision personnelle", et que ses valeurs mobilières étaient confiées à un gestionnaire indépendant, selon une règle gouvernementale . M. Breton a également abandonné les mandats d'administrateur qu'il possédait dans les sociétés France Télécom, Thomson, Schneider Electric, Axa, ainsi que dans le groupe bancaire franco-belge Dexia. "Il n'a pas d'indemnités de départ et il divise par dix sa rémunération", soulignait aussi un de ses proches, indiquant qu'il continuerait à habiter "sa maison personnelle, dans le 14e arrondissement".

Mardi, le ministère annonçait que la lettre aux contribuables accompagnant le formulaire de déclaration de revenus, signée Hervé Gaymard, ne serait pas réimprimée. Trop tard, trop cher : la réimpression des 34 millions de formulaires coûterait 10 millions d'euros.

M. Breton n'est pas arrivé à Bercy avec une équipe toute constituée. Seul Marc Meyer, son conseiller à France Télécom, qui le suit depuis dix ans, est "là pour l'aider quelques semaines", mais assure ne pas avoir vocation à rester à Bercy. Pour l'essentiel, le cabinet de M. Gaymard assure la continuité.

Le programme prévu pour l'ancien ministre sera respecté cette semaine. Mardi, M. Breton rencontrait le ministre allemand de l'économie, Wolfgang Clement, dans le cadre d'un groupe de travail franco-allemand animé par Jean-Louis Beffa, promoteur de "l'innovation industrielle", soutenue par Jacques Chirac, avant de tenir une conférence de presse commune.

"Je suis, comme beaucoup, attristé des circonstances de son départ" et "très honoré de lui succéder", a dit M. Breton en arrivant, à propos de son prédécesseur. "Maintenant, au travail", a-t-il lancé.

• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 02.03.05
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0 # Yves 2005-03-01 17:03 Un commentaire posté par ylenorm (membre du site) et que je "remonte" dans la hiérarchie de lecture.

Pour ceux qui ne le savent, le futuroscope de Poitiers est une parfaite illustration de l'illusion que quand c'est par le privé c'est bien, quand c'est géré par le public, ce n'est pas bien. Au départ, la gestion et l'exploitation du futuroscope de Poitiers ont été cédées au privé car "le public ne sait pas gérer une entité économique". Mais, après quelques années de déficit, le "privé bon gestionnaire" a préféré jeté l'éponge et laissé aux Collectivités Locales la gestion et l'exploitation du futuruscope de Poitiers. Je n'entends pas souvent cet exploit à la télé, on dirait qu'"ils" en ont honte.

Autre chose, Thierry Breton touchait à peu près 1,300 Million d'€ de salaires (environ 200 000€/mois) en tant que pdg de France Télécom, plus les stocks-options, qu'il a voulu mettre en place, sous prétexte qu'il est le seul pdg d'une entreprise de la taille de FT mondiale à ne pas en avoir (en même temps que les cadres dirigeants).

Michel Bon, quand il était pdg de FT, touchait à peu près 200 000FF/mois . Donc, le salaire de Thierry Breton était donc 6 fois le salaire de l'ancien pdg Michel Bon -au pire. Est ce que la qualité du service rendu par France Télécom a été améliorée par 6 entre les 2, du point de vue du consommateur ?

Je viens de recevoir ma facture : Je paie pour presque 30€ d'abonnement, pour moins de 4€ de consommation. Cela se passe de commentaire.

Les privatisations ont donc été pour les pdg choisies de multiplier par 4 ou plus leurs salaires du jour au lendemain (pour Elf, c'était par 4 je crois).

Au niveau des inégalités, la France est effectivement en train de rattraper son retard par rapport aux Etats-Unis.
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