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Accueil Social, économie et politique Chômage : La barre des 10% est atteinte !

Chômage : La barre des 10% est atteinte !

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Encore une promesse de Jean-Pierre Raffarin qui risque de prendre un sérieux bouillon ! Malgré la "positive attitude" affichée par le Premier ministre et quelques autres membres du gouvernement - Borloo et ses 500.000 emplois de service (qui se révèlent être 100.000 emplois équivalent plein temps) et Gaymard (le "pauvre fils de cordonnier" qui n'a pas de quoi se loger mais paie l'impôt sur la fortune !) -, le taux de chômage a atteint 10% de la population active en janvier.
Le nombre de demandeurs d'emplois a progressé de 0,7% pour atteindre 2.461.600 personnes (chômeurs de catégorie 1 uniquement), selon les statistiques du ministère du Travail. Cette dégradation est essentiellement due à une difficulté croissante des demandeurs d'emploi à sortir du chômage, alors que seuls 40.000 emplois ont été créés l'année dernière. Le chômage de longue durée (chômeurs inscrits depuis plus d'un an) explose (+1,6% sur un mois, +5,6% sur un an), tout comme celui de très longue durée (chômeurs inscrits depuis plus de trois ans) qui bondit de 3,4% sur un mois et de 5,3% sur un an.
Le chômage n'avait plus atteint la barre des 10% depuis le mois de février 2000, selon l'INSEE.

Fin 2004, Raffarin s'était formellement engagé à le faire baisser de 10% en 2005. C'est bien parti !

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Mis à jour ( Vendredi, 25 Février 2005 15:44 )  

Commentaires 

 
0 # 2005-02-25 15:40 Avec un taux de chômage à 10%, des dizaines de milliards de bénéfices pour les actionnaires, et un ministre de l'économie & des finances qui détourne des fonds publics, c'est tout le gouvernement Raffarin qui devrait démissionner !!!a

Pour en revenir à Hervé Gaymard :
«Evidemment, si je n'étais pas le fils d'un cordonnier-marchand de chaussures, si j'étais un grand bourgeois, je n'aurais pas de problème de logement. Je serais propriétaire de mon appart et il n'y aurait pas toute cette affaire!» a-t-il dit à Paris-Match.

En fait, Gaymard est multipropriétai re : il possède le fameux appartement de 200 m2 boulevard Saint-Michel à Paris + une grande maison familiale vers Bourg-Saint-Maurice (Savoie) + une maison de 120 m2 à côté de Concarneau (Bretagne) assortie d'un terrain de 957 m2 + deux F2 et garage encore à Bourg-Saint-Maurice.
A la tête d'un tel patrimoine, les Gaymard sont redevables de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) dont le plancher est de 720.000 euros. Ils ont donc payé 2.160 euros à ce titre en 2004.

«J'ai toujours vécu humblement. Je n'ai pas de fric.» a-t-il dit à Paris-Match.
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0 # Pataquès 2005-02-25 16:01 C'est fait, notre fringant (et SDF) ministre de l'Économie a démissionné.

Passons à Raffarin !!!
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0 # Yves 2005-02-25 16:08 Il faut réactualiser rapidement les stats du chômage pour février.

On compte déjà un chômeur de plus : Gaymard !!!

Bienvenue au club…

Moralité :

Les (fils) de cordonnier sont décidément les plus mal chaussés (enfin pas au niveau du patrimoine immobilier, mais du boulot !).
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0 # Yves 2005-02-25 16:11 AP | 25.02.05 | 15:26

PARIS (AP) — Hervé Gaymard a annoncé vendredi dans un communiqué sa décision de remettre sa démission de ses fonctions de ministre de l'Economie au Premier ministre Jean-Pierre Raffarin.

«J'ai décidé de remettre au Premier ministre ma démission de ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie», explique-t-il dans ce communiqué diffusé par Bercy. «Je ne veux laisser en aucun cas atteindre à travers moi les fonctions que la République m'a confiées et que je respecte au plus haut point, ainsi que l'action du gouvernement», justifie-t-il.

«J'ai conscience d'avoir commis des maladresses et d'abord une erreur d'appréciation sérieuse concernant les conditions de mon logement de fonction», reconnaît Hervé Gaymard. «J'ai mis un terme sans délai à cette situation: je prendrai en charge, comme je l'ai déjà indiqué, les conséquences financières», ajoute-t-il. Il déplore toutefois le «véritable harcèlement» auquel lui et sa famille auraient été «soumis» depuis «plusieurs jours».

«Ma décision est conforme à la vision de la politique qui m'anime, et qui continuera à m'animer, demain comme hier, au service de mon pays», conclut-il. AP
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0 # patdu49 2005-02-25 16:25 allez au suivant, à qui le tour ..

sinon c'est pas le tout de demissionner, il faut aussi rendre des comptes, y en a raz le bol que certains passent à travers la justice ou n'ont même pas à rembourser, Juppé et compagnie …

j'aimerai aussi voir tout les liens de parenté des collabo -rrateurs des ministres, si y a pas eu du pistonnage, comme des copains des grandes ecoles ou leurs momes à ces copains, et des enquetes poussées de toutes leurs finances, patrimoine, voyages effectués, d'ou vient ou d'ou est venu le pognon etc .. lever les secrets banquaires etc

idem pour certains patrons qui declarent la moitié de ce qu'ils gagnent les 3 quart du temps et qui osent payer au smic leurs employés (enquetes poussées la aussi, + frangins, frangines, parents etc) car rien de plus simple que de verser le pognon sur un autre compte en banque etc .. ou d'acheter un logement à leur noms, ou un voilier, ou une bagnole etc

pourquoi ils tentent tous de diaboliser les partis humanistes tout ces gros escrocs croyez vous, tout simplement car ils ont la trouille que tout soit dévoilé au grand jour, y aurait des scandales partout !!
rendons le pognon au peuple, transparence, partage des richesses

BRAVO aux journalistes en tout cas qui enquètent et ont les couilles de mettre ça sur la place publique et l'honneteté de pas se faire acheter leur silence
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0 # kedhon 2005-02-25 17:49 idem pour certains patrons qui declarent la moitié de ce qu'ils gagnent les 3 quart du temps et qui osent payer au smic leurs employés (enquetes poussées la aussi, + frangins, frangines, parents etc) car rien de plus simple que de verser le pognon sur un autre compte en banque etc .. ou d'acheter un logement à leur noms, ou un voilier, ou une bagnole etc

Parfaitement d'accord, surtout maintenant qu'ils n'embauchent plus, mais font trimer deux fois plus les smicards qu'ils ont sous la main, pour "faire des économies". Ces fumiers là aussi doivent payer. Je suis graphiste, et voilà le genre de poste que je vois de plus en plus ces derniers temps : contrat intérimaire de 3 mois renouvelable… au smic, et avec un niveau de qualification demandé toujours croissant.
La solution du futur c'est ca, l'employé jettable, de l'exploitation pure et dure sans garantie de durée et sans avantages.
Pour bien des jeunes comme moi, on a plus le choix, c'est marche ou crève !
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0 # superuser 2005-02-25 16:27 25/02 (AFP) 14:55
Rémi Jouan, secrétaire national de la CFDT, a estimé vendredi que le taux de chômage de 10% en janvier montre "l'échec actuel" de la politique de l'emploi du gouvernement, et a appelé dans un communiqué à "s'attaquer résolument" à la baisse du nombre de demandeurs d'emploi.

"Ce chiffre à lui seul montre l'échec actuel de la politique de l'emploi du gouvernement, et l'énorme retard accumulé", estime M. Jouan, qui juge qu'il est temps de "s'attaquer résolument au retournement de la courbe du chômage".
"Les dossiers ouverts ces derniers mois — guichet unique, sauvegarde des entreprises, convention personnalisée de reclassement, contrat intermédiaire — doivent être mis en synergie dans ce but", poursuit le responsable national de la CFDT.

Selon lui, la "situation dramatique du chômage" montre enfin que " L'HEURE N'EST PAS À RECHERCHER LES MOYENS DE 'TRAVAILER PLUS POUR GAGNER PLUS' MAIS BIEN DE 'TRAVAILLER TOUS, POUR GAGNER TOUS' ".
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0 # superuser 2005-02-25 16:41 25/02 - AFP - 12:29
L'UNSA a estimé que le taux de chômage de 10% de la population active en janvier n'était "malheureusement pas une surprise", dénonçant la politique du gouvernement et la priorité accordée par les entreprises à leurs actionnaires, vendredi dans un communiqué.

"Trop de facteurs négatifs ne pouvaient que contribuer à ce triste résultat", a estimé l'Unsa, qui cite notamment "l'arrêt brutal d'un certain nombre de mesures de traitement social du chômage", la "stagnation des salaires" et "la priorité donnée par les entreprises à la Bourse et aux actionnaires".
L'Unsa a déploré également "les freins mis par le Medef à l'avancée des négociations nationales", par exemple sur l'emploi des seniors, "l'incapacité" de service public de l'emploi "à se réformer utilement" et le fait de "laisser à l'abandon" l'emploi des jeunes. "Pendant ce temps, le Parlement et le gouvernement, qui ont en charge l'intérêt général, proposent des heures supplémentaires mal payées à ceux qui ont déjà un emploi", a dénoncé le syndicat, en allusion à la réforme des 35 heures.

Pour l'Unsa, "s'il en était besoin, l'état actuel du chômage justifie et légitime amplement la journée d'action du 10 mars, dans toutes les régions comme à Paris".
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0 # kedhon 2005-02-25 17:22 Pour savoir réellement combien de chômeurs il y a en france, pourquoi on ne compte pas plutot les actifs, le résultat serait édifiant… 10%… mon cul !
Positive attitude quand tu nous tiens.
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0 # Yves 2005-02-25 18:09 Le chômage est (officiellement ) à 10% (plus de 2,4 millions de personnes).

Sont comptabilisés ici les chômeurs de catégorie 1 (inscrits à l'ANPE, n'ayant pas travaillés et étant immédiatement disponibles).

Mais combien de jeunes chômeurs, de milliers de jeunes chômeurs, de dizaines de milliers de jeunes chômeurs ne sont pas comptabilisés ?

Pour une bonne et simple raison : Ils ne se sont pas inscrits à l'ANPE car ils n'ont droit à aucune allocation.

Les statistiques du chômage sont largement sous-évaluées !
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0 # kedhon 2005-02-25 21:59 Merci pour ton soutien Yves. Plus de la moitié de mes conaissances sont ou ont étés au chomage "longue" durée (moyenne d'age 27 ans) et souvent jusqu'en fin de droit (donc plus comptabilisés). Ca dépend peut-être des régions, mais ici dans le Nord… c'est Liverpool. Alors les 10% de chomeurs que j'entends aujourd'hui aux infos… rire jaune. Au fait comme les patrons n'embauchent plus pour faire des "économies" (on verra ce qu'ils diront en voyant leurs retraites…), je me renseigne aujourd'hui pour un financement de formation par le fongecif… cec, ces, intérimaires, emplois jeunes : pas moyen. Pour avoir été moi-même emploi jeune je dis : Vive Martine Aubry, chomage longue durée garanti ! Répondre | Répondre avec citation |
 
 
0 # Yves 2005-02-26 20:25 Un article de Libération :

Croissance et chômage main dans la main

En France, un salarié sur dix recherche un emploi. En janvier, la barre symbolique des 10 % a été franchie. On aura beau expliquer, comme s'y est employé, dès jeudi sur France 2, le ministre de l'Emploi et de la Cohésion sociale, Jean-Louis Borloo, que «le chômage fait, depuis des mois, le yoyo», la réalité est là : il ne baisse pas. Depuis février 2000, le pays n'avait pas connu de taux de chômage à deux chiffres. En 1997, il atteignait le niveau record de 12,5 %. Au printemps 2001, il était redescendu à 8,7 % après trois années de croissance soutenue. Aujourd'hui, la croissance est à nouveau au rendez-vous. Mais pas l'emploi.

Pourquoi une croissance à 2,3 % ne fait-elle pas baisser le chômage ?

Avec un produit intérieur qui a augmenté de 2,3 % en 2004, ­ et même de 2,5 % en tenant compte du nombre de jours ouvrables ­, la France n'a créé que 39 000 emplois, selon les résultats de la dernière enquête trimestrielle sur l'activité et les conditions d'emploi de la main-d'oeuvre (Acemo). C'est mieux qu'en 2003, où l'on avait enregistré une destruction nette d'emplois. Mais c'est trop peu pour compenser les nouvelles arrivées sur le marché du travail. Entre 1998 et 2001, l'économie française avait créé 1 500 000 emplois nouveaux dans le secteur marchand, pour baisser de 500 000 le nombre de chômeurs. Avec moins de 40 000 créations nettes de postes dans le secteur marchand, la courbe du chômage ne peut s'infléchir de manière significative. Le marché du travail n'est en effet pas un simple solde entre les départs à la retraite et les arrivées de jeunes sortis du système scolaire. D'autres paramètres interviennent, comme la reprise d'emploi d'anciens salariés ayant suspendu leur activité. Ils reviennent en nombre sur le marché du travail lorsque l'économie redémarre. Exemple classique : le conjoint qui s'inscrit à l'ANPE comme demandeur d'emploi quand il sait qu'il peut décrocher des missions d'intérim ou des CDD. Mais celui-là sort des statistiques lorsqu'il n'a aucun espoir de trouver du boulot et préfère s'occuper des enfants.

Pourquoi les entreprises n'embauchent-elles pas ?

Il y a toujours un décalage entre la reprise économique et la perception qu'en ont les employeurs. Mais l'attentisme a rarement été aussi long, alors que la prévision de croissance est à 2 % pour 2005 et devrait inciter les entreprises à embaucher pour être prêtes à répondre à la demande. Elles ont plutôt choisi de reconstituer leurs marges, et de servir d'abord leurs actionnaires. Les profits conséquents annoncés par les grands groupes, Renault, Total, Lafarge, BNP-Paribas et pas mal d'autres en sont l'illustration (Libération du 18 février). Au moment où le chômage franchit la barre des 10 %, le CAC 40 caracole au-dessus des 4 000 points. La plupart des entreprises n'ont pas remplacé poste pour poste les départs. Les rares qui l'ont fait en ont profité pour rajeunir leur pyramide des âges : le chômage des moins de 25 ans est le seul à avoir baissé le mois dernier (-1 %), même s'il concerne encore 21,8 % des jeunes présents sur le marché du travail.

Pourquoi les départs à la retraite ne créent-ils pas d'appel d'air ?

La possibilité de partir avant 60 ans offerte par la réforme Fillon sur les retraites à tous ceux qui ont commencé à travailler tôt aurait dû, en 2004, accélérer le rythme des départs à la retraite. Cette opportunité a été saisie par plusieurs dizaines de milliers de salariés. Mais elle n'a pas modifié fondamentalemen t le rapport départs/arrivées sur le marché du travail. Car l'an dernier, ce sont les générations peu nombreuses nées en 1942, 1943 et 1944 qui ont été concernées par la retraite à 60 ans ou un peu avant. Ce n'est qu'à partir de 2006 que la démographie pourra avoir un impact positif sur le marché du travail.

Pourquoi le plan de cohésion sociale reste-t-il sans effet ?

Il «ne commencera pas à produire ses effets matériels avant le second semestre de cette année», s'excusait, jeudi, Jean-Louis Borloo. C'est une première explication. Il en est une autre, plus inquiétante pour le gouvernement : les mesures en faveur de l'emploi qu'il contient, notamment les maisons de l'Emploi, ne peuvent avoir d'incidence sur le chômage qu'à moyen ou long terme. En attendant, les nouveaux dispositifs, comme le contrat d'avenir ou le RMA (revenu minimum d'activité), tardent à se mettre en place. La hausse du nombre de chômeurs de longue durée observée en janvier traduit ce flottement dans le «traitement social» du chômage.

La France est-elle condamnée à un taux de chômage élevé ?

C'est la grande inquiétude des experts. «Après une période d'optimisme exagéré, on est tenté par un pessimisme peut-être excessif, souligne Yves Chassard, chef du service affaires sociales au Plan, mais on ne peut exclure le scénario noir d'une croissance sans emploi.» Ce «scénario noir» verrait coexister des poches de chômage et de fortes tensions sur le marché du travail. La croissance française serait doublement handicapée : par la charge de l'indemnisation du chômage, et par la pénurie de main-d'oeuvre dans les secteurs d'activité les plus dynamiques.

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0 # superuser 2005-02-28 20:15 28/02 (AFP) 15:10
La CGT juge nécessaire d'augmenter les salaires, de généraliser les 35 heures et de renforcer les droits des salariés pour lutter contre le chômage, qui a atteint 10% de la population active en janvier, lundi dans un communiqué.

La CGT dénonce la politique du gouvernement qui "prêche la rigueur salariale pour les fonctionnaires, plaide en faveur de la remise en cause des 35 heures ou réforme (la loi) pour faciliter les licenciements dans les entreprises".
"Au contraire, il faut augmenter les salaires pour favoriser l'activité et l'emploi, généraliser à tous les salariés l'application des 35 heures qui a déjà permis de créer entre 350.000 et 400.000 emplois et renforcer les droits des salariés pour faire valoir des solutions alternatives aux licenciements", estime la confédération.

La CGT appelle "les salariés du privé et du public, les chômeurs et les retraités", à participer à la journée d'actions du 10 mars pour "réclamer une autre politique en faveur de l'emploi, des salaires et des 35 heures".
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