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Accueil Social, économie et politique La France et les Français immunodéprimés par le virus de la propagande

La France et les Français immunodéprimés par le virus de la propagande

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Comment les manigances oligarchiques atomisent nos défenses immunitaires.

altOn peut dire que depuis 40 ou 50 ans, rien ne nous a été épargné, à nous autres nés dans les Trente Glorieuses, quand notre pays explosait les compteurs de la croissance, à +5 ou +6% par an, quand l’avenir de chacun s’écrivait en rose.

Depuis la fin des années 70, début des 80’s, le retour au réel est brutal. À mesure que passent les décennies, la dégringolade s’accélère.

Nous pensions vivre dans un pays de cocagne, remarquable de générosité, d'inventivité, de créativité et d'humanité, mais nous avons été trompés et abusés.

Nous avons découvert depuis que notre pays est peuplé d’affreux racistes hostiles aux millions de «chances pour la France» que nous accueillons indignement, que nous exploitons sans vergogne, que nous parquons dans des quartiers délabrés. Dans ces conditions miséreuses, il paraît aujourd’hui justifié qu’une part de cette population malmenée nous tienne pour responsables de son mal de vivre. Et nous le fasse payer cher.

Ces dernières années, on ne compte plus les «de souche» agressés, brutalisés, égorgés parfois [de plus en plus souvent] par quelques halogènes en colère… légitime.

Même Monsieur Tapie, fervent militant de la cause migratoire sous la présidence Mitterrand, en a fait les frais. «De Tapie à Tapé», résumait non sans humour noir le souverainiste Pierre-Yves Rougeyron dans une vidéo YouTube.

Le Tapé qui a confié à André Bercoff que les «jeunes» venus le détrousser lui auraient dit : «Va te faire enculer ! Ce temps-là est mort !» quand Nanard leur faisait remarquer qu’il avait toujours été solidaire des immigrés et de leurs descendants. Voilà un baby-boomer bien récompensé pour ses bonnes œuvres en faveur de la diversité !

Comme la malheureuse Sarah Halimi assassinée par un «jeune» d’origine malienne sous l’emprise de stupéfiants, alors qu’elle manifestait - elle aussi - une belle solidarité en accueillant chez elle des personnes en déshérence, généralement d’origines africaines. Mauvaise pioche !

L’agent administratif de la Police Nationale égorgée il y a quelques jours à Rambouillet, n’a elle pas eu l’occasion de manifester sa sympathie pour son égorgeur, un Tunisien entré clandestinement en 2009 et régularisé 10 ans plus tard. Comme la quasi-totalité des clandestins qui, par dizaines de milliers, s’installent chez nous en toute illégalité… finalement récompensée.

Mais pas d’amalgame s’il vous plaît les Ami-E-s !

Il y a aussi beaucoup d’individus d’origines étrangères assassinés, égorgés, décapités par des Français de souche. Dernier exemple en date… euh !… euh !… Je ne me souviens plus. Désolé !

Passons…

Nous avons découvert aussi que notre passé est entaché d’ignominieux comportements dont il n'est que temps de nous repentir, 100 ou 150 ans plus tard, à l’instar de la colonisation. Nous, Français de souche, nous avons occupé des contrées lointaines, spolié de leurs biens les autochtones, massacré ceux qui nous résistaient et laissé derrière nous, à la décolonisation, des pays en ruine, exsangues. Nous nous sommes servis. Nous n’avons rien laissé… Pas de routes, pas d’infrastructures, pas d’hôpitaux, d’écoles, de chemins de fer, d’usines, d’exploitations agricoles… Rien !

Il nous revient aujourd’hui d’expier des fautes que nous n’avons pas commises. Ni de près ni de loin. Il y a un siècle, 70 à 80% des Français vivaient encore à la campagne, loin de tout, loin de ces colonies dont la plupart d’entre nous ne soupçonnait l’existence. Mais nous sommes coupables collectivement… et pour l’éternité.

Il en est de même d'un drame plus récent : le génocide des juifs d’Europe, comme s’est chargé de nous le rappeler Nicolas Sarkozy, alors Président de la République en 2012, à l’occasion du dîner du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) : «En Europe, pas au Moyen-Orient, en Europe avec des Européens, pas au Moyen-âge, au XXème siècle, hier, on s'est entretué, on s'est détesté, on s'est envahi, on s'est déchiré, on s'est massacré. Les Européens ont eu l'idée folle de la Shoah, la France et l'Allemagne !».

Par ces mots, le Président de la République de l’époque impute à la France la responsabilité directe de la Shoah, au même titre que l’Allemagne. C’est tout simplement ahurissant !

Quand notre responsabilité collective est reconnue et dénoncée à ce niveau, nous ne pouvons que nous y soumettre pour toujours. Acceptons-la !

Un autre président se distingue par sa propension à revisiter le passé de notre Nation : Emmanuel Macron qui souhaite à présent «déconstruire notre propre histoire» (formule tirée de son interview à la chaîne américaine CBS). Pour en réécrire une version plus contemporaine qui mettra l’accent sur les sombres chapitres que nous avons esquissés plus haut ? Quel enthousiasmant programme !

Le même avait osé nous asséner il y a cinq ans : «l’art français, je ne l’ai jamais vu». Ou encore : «il n’y a pas une culture française». Nos ancêtres artistes, écrivains, peintres, architectes, artisans… qui ont œuvré depuis le baptême de Clovis il y a 1.500 ans, apprécieront. Tous ces Français nous ont légué un patrimoine architectural, artistique, religieux, intellectuel homogène et monumental qui attire des dizaines de millions de touristes chaque année dans nos cathédrales, nos châteaux, nos musées, nos villes et villages… Macron, lui, n’a rien vu.

Depuis 40/50 ans, on subit un «French Bashing» permanent (châtiment de la France et des Français) par ceux qui devraient pourtant porter haut notre destin national. Ils participent à nous «immunodéprimer», c’est-à-dire à saper nos capacités de résistance aux adversités et aux dangers qui nous menacent.

Nul besoin d’être un complotiste forcené pour mesurer la puissance de la propagande qu’on nous inflige à tous niveaux, dans tous les registres : Culturel, historique, économique, démographique et à présent sanitaire. Nous sommes aspirés dans une spirale de culpabilisation permanente, d’autoflagellation et d’ethno-masochisme, de détestation de soi, de notre histoire et de nos origines.

Ainsi, la Nation française constituée très majoritairement d’individus blancs, de religion chrétienne (catholique), doit se dissoudre, s’effacer, au profit d’une société multi-ethnique, multi-raciale, multi-confessionnelle, multi-culturelle… que dessine notre avenir civilisationnel. La panacée.

En réalité, nous passons d’une société helléno-chrétienne accomplie et flamboyante, à un melting-pot au destin incertain. Ce qui s’annonce n’inspire rien de bon !

L’humanisme universel du catholicisme qui façonne l’âme française et ses territoires géographiques, spirituels et artistiques depuis plus de 1.500 ans, va se diluer dans un corpus ethnique et religieux exogène fondé sur des valeurs qui ne sont pas les nôtres. Parfois respectables et assimilables, souvent antinomiques avec celles qui ont inspiré les générations passées.

L’Amour universel du message christique qui irrigue encore notre psyché collective peut-il s’accommoder de croyances ou interprétations religieuses plus élitistes, tribales, voire suprémacistes (comme la notion de «peuple élu» propre au judaïsme) ou encore restrictives et contraignantes (comme les règles doctrinales islamiques de la charia) ?

Plus largement, la France qui a mis des siècles à forger son unité nationale malgré des particularismes provinciaux très marqués, va-t-elle subir une régression destructrice irréversible ? C’est ce qu’on observe.

La Nation vacille sous les coups de boutoir d’une multiplicité d’agressions. Les communautarismes religieux et ethniques ressurgissent ; d'autres sont apparus récemment (les communautarismes genrés et sexuels). Des coups sont aussi portés par les racialismes et séparatismes. Mais les plus violents sont ceux du radicalisme religieux qui ensanglante notre actualité.

Il convient de rappeler aux jeunes générations qu’il y a moins de 50 ans en France, on ne décapitait JAMAIS un professeur à la sortie de son lycée. On n’égorgeait JAMAIS un agent administratif dans le hall d’un commissariat. On ne massacrait JAMAIS des dizaines de personnes aux terrasses des cafés, dans une salle de spectacle (au Bataclan) ou sur la Promenades des Anglais un soir de 14 juillet à Nice. On ne poignardait JAMAIS une personne qui vous refusait une cigarette.

Il y a 50 ans en France, on ne parlait quasiment JAMAIS de religion, et moins encore d’attentats s’en inspirant. Les filles se promenaient en mini-jupes dans Paris sans se faire traiter de salopes ou de putes. Et aucun président de la République n’accablait publiquement les Français de leur responsabilité dans la Shoah.

Aujourd’hui, nous sommes sous le feu d’une culpabilisation collective permanente pour des événements auxquels nous n’avons pas participé (esclavagisme, colonisation, collaboration avec l’ennemi, génocide…). Nous sommes soupçonnés et souvent accusés de racisme et de discrimination alors que la France accueille officiellement entre 200.000 et 250.000 migrants chaque année. Auxquels s’ajoutent plusieurs dizaines de milliers de clandestins. Combien avons-nous recueilli d’immigrés depuis 10 ans ? 2 ou 3 millions ? Et depuis les années 70 ? Et combien encore à venir par l’assouplissement des règles du regroupement familial imposées par l’Europe ?

Et si ce choc démographique ne suffisait pas à déstabiliser une Nation qui a mis des siècles à faire corps, il s’inscrit malheureusement dans un contexte économique calamiteux.

La France importe une main d’œuvre à laquelle elle ne peut plus fournir de travail puisque nous avons perdu en moins de 40 ans 60 à 70 % de nos industries, notamment les grosses pourvoyeuses d’emplois que sont le textile, les mines et la sidérurgie, la mécanique… L’hémorragie n’en finit pas. Les délocalisations et autres transferts de technologies se poursuivent à rythme accéléré. L’industrie représente en France moins de 10% du PIB.

Nous ne produisons plus les biens de consommation les plus courants (habillement, téléphonie, informatique, électronique…) et, plus préoccupant, les produits indispensables à notre survie, tout simplement. La pandémie Covid-19 a révélé que nous ne sommes plus capables de fabriquer des masques, des respirateurs artificiels, des vaccins…

Les jeunes générations doivent savoir qu’il y a 60 ans, la France était auto-suffisante dans tous domaines industriels, y compris dans la production de gaz et pétrole extraits du Sahara algérien.

La question que tout Français est en droit de se poser ne peut être que complotiste : Pourquoi un tel acharnement à détruire une Nation admirée et enviée depuis des siècles ?

Ce qui reste de la France profonde est écrasé entre le marteau d’une «élite» politique, financière, économique et médiatique coupable d’intelligence avec l’ennemi, de haute trahison [Emmanuel Macron en est l’incarnation] et l’enclume d’un grand effacement démographique par l’afflux ininterrompu de migrants extra-européens.

«Il n’est point de complot dans tout cela. C’est ainsi que le monde évolue !», se rassureront les fatalistes.

Ah bon ? Sont-ce les mêmes phénomènes qu’on observe ailleurs ? En Chine, en Russie, au Japon, au Vietnam, en Corée, en Hongrie, en Pologne… ? Et même au Sénégal, au Cameroun, en Algérie… ?

Les populations de ces pays sont-elles contraintes de cohabiter avec de nouveaux arrivants dans un contexte de chômage massif, de pénurie d’emplois, de délinquance record, de tensions ethniques et religieuses jusqu’alors inconnues ? Il ne me semble pas !

Les populations de ces pays doivent-elles se repentir de ce que leurs ancêtres ont fait subir à d’autres, il y cinq siècles, trois siècles ou il y a 90 ans ? Je n’ai pas ce sentiment !

Culpabilise-t-on les Japonais à longueur d’année pour les ignominies qu’ils commirent en Chine, aux Philippines et ailleurs pendant la Seconde Guerre mondiale ? Non !

Ces pays ont-ils renoncé à leur souveraineté pour la confier à des entités supranationales qui dictent leurs lois, comme la Commission européenne, la CEDH [la Convention des Droits de l’Homme] ou la Cour de Justice européenne, dont les directives, orientations et jugements s’imposent à nous et à notre propre Constitution ?

Les langues de ces pays [le mandarin, le russe, le japonais, le vietnamien, l’arabe…] sont-elles malmenées et saccagées au quotidien comme l’est le Français, cette langue admirable, riche, précise, qui, des siècles durant, séduisit les aristocraties politiques et intellectuelles de l’Occident et bien au-delà ?

La France est bien le champ d’expérimentation d’un «Great Reset», d’un grand reformatage, d’une réinitialisation, d'une «déconstruction», dirait Macron. Pour aboutir à quoi précisément ?

Un pays multi-ethnique, multi-racial, qui ne produit plus rien, qui est totalement soumis aux influences politiques et culturelles étrangères ?

Un pays de consommateurs qui ont oublié d’où ils viennent et qui ils sont ?

La terre d’élection du grand métissage que nous vend la publicité. Ces hommes noirs et ces femmes blanches [rarement le contraire, vous remarquerez] et leurs enfants… forcément plus noirs que blancs ?

Un pays où la population de souche est immunodéprimée par des décennies de propagande cosmopolite et mondialiste visant à annihiler toute résistance, pour que disparaisse à jamais le «Gaulois réfractaire» ?

Pour parachever ce plan diabolique [il s’agit bien de cela], l’oligarchie satanique dispose d’un atout inespéré [possiblement programmé ou à tout le moins envisagé] : la pandémie Covid-19, cette «peur structurante», selon la formule de Jacques Attali énoncée en 2009.

Depuis un an, nous sommes victimes de l’effet nocebo décrit par le Professeur Didier Raoult. «On rend les gens malades à force de leur répéter qu’ils sont en danger». Cette manipulation psychologique perverse participe grandement à notre «immunodéprime», à l’altération de nos défenses immunitaires naturelles face aux agents pathogènes, bactéries et virus. Mais pas seulement !

En jouant sur la peur, l’oligarchie nous impose d'incroyables restrictions de nos libertés. Bientôt, il nous faudra un passeport vaccinal pour nous rassembler, pour sortir et pour voyager. La prévention, l’isolement des malades et les traitements ont été délibérément sacrifiés sur l’autel d’une politique vaccinale délirante qui pourrait, à terme, produire des souches virales mutantes hyper virulentes, alors que la «peste du XXIe siècle» n'a tué que 3 millions de personnes sur 7 milliards d’humains, essentiellement des gens très âgés ou à fortes comorbidités (diabète, obésité, maladies respiratoires chroniques…).

En France, cette pandémie aurait abrégé l’existence de 100.000 personnes, de plus de 75 ans pour la plupart, voire de 80 ans. Autant dire que la probabilité de mourrir de la Covid-19 est infime quand on a moins de 60 ans, et qu’on est en bonne condition physique.

Pourquoi alors agiter cette peur aux effets nocebo toxiques ? Pour nous rendre plus immunodéprimés, plus malléables que nous le sommes déjà.

Le piège s’est refermé sur nous. Il n’y a plus d’autre échappatoire que d'attendre qu’un jour prochain, le gouvernement nous accorde dans sa grande bienveillance des libertés qui étaient notre quotidien il y a encore 15 mois. Liberté de nous désaltérer à la terrasse d'un café. Liberté de nous réunir dans un restaurant. Liberté de marcher sans masque dans la rue.

Reconnaissants à l'égard de nos bienfaiteurs, nous oublierons qu’ils ont détruit la France et effacé les Français.

Un plan diabolique mais génial !

Le Complotiste Assumé


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