Petits épargnants et gros investisseurs institutionnels ont ainsi répondu massivement à l'offre de l'Etat français qui proposait jusqu'à mercredi environ 20% du capital de GDF. Avec une action à 23,40€, cette opération rapportera à l'Etat près de 2,5 milliards d'euros.
Il s'agit du plus grand succès depuis la privatisation du Crédit Lyonnais en 1999 où 3,4 millions de particuliers avaient répondu à l'offre. Mais en 1997, France Télécom avait battu tous les records de mise sur le marché avec 3,8 millions de particuliers devenus actionnaires.
GDF a déjà annoncé une politique de dividende ambitieuse, en s'engageant sur une augmentation de 40% du dividende au titre de 2005 et un doublement à l'horizon 2007-2008 par rapport à 2004. L'an dernier, le montant total des dividendes s'élevait à 418 millions d'euros.
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