Toutes les personnes sollicitées soulignent qu'EDF "n'est pas une entreprise comme les autres". Elles appellent le gouvernement à "renoncer" à ce projet qualifiée par le premier secrétaire du PS François Hollande de "première étape de la privatisation" : le numéro un du PS s'engage même à revenir sur l'ouverture du capital de l'entreprise en cas de victoire de la gauche en 2007.
Parmi les responsables politiques qui s'expriment figurent les leaders des motions socialistes pour le congrès du Mans : Laurent Fabius, François Hollande, Jean-Luc Mélenchon, Vincent Peillon, Henri Emmanuelli, et le président des députés socialistes Jean-Marc Ayrault. Les responsables Verts, Radicaux de gauche, communistes, de la LCR et de Lutte ouvrière accusent le gouvernement Villepin de vouloir "casser les services publics".
Outre les politiques, Jean-Claude Mailly (FO), Bernard Thibault (CGT), Jacques Nikonoff (Attac), Annick Coupé (Union syndicale Solidaires) expriment également leur refus du projet, de même que plusieurs responsables d'associations.
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