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L’invité : Jacques Cotta

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A l'occasion de la sortie de son livre chez Arthème Fayard, nous avons rencontré ce journaliste et réalisateur militant.

Actuchomage : Journaliste, réalisateur et grand reporteur à France 2, vous signez un livre intitulé «7 millions de pauvres en France, la face cachée des temps modernes». Qu’est-ce qui a motivé la rédaction de cet ouvrage ?

Jacques COTTA : Le point de départ de ce livre est une histoire banale, mais lourde de sens. Je la raconte en introduction de mon livre. Je me trouvais un dimanche après-midi pluvieux dans une laverie du 18ème arrondissement de Paris lorsque pénètre une clocharde. Je me propose alors d’appeler pour elle le SAMU social afin de lui trouver un lit pour la nuit. Elle refuse. Quelques instants plus tard un homme d’une quarantaine d’années, costume en velours et parka sur le dos, me tape sur l’épaule :
- Pour moi monsieur, vous pourriez appeler ?
Cette première rencontre a déclenché chez moi l’envie de traiter ce thème et de sortir ce livre avant les élections afin d’aider à ce que les vraies questions concernant les travailleurs pauvres ne soient pas évacuées du débat public : le rapport au travail, à la précarité, au salaire, et avec tout ce qui suit, le logement, la santé, la culture, l’éducation, etc… Ces questions concernent au moins 7 millions de personnes qui touchent moins de 722 € par mois. 12 millions moins de 843 €. Elles concernent les millions de précaires. Ceux qui subissent les temps partiels, les petits boulots, qui sont parfois réduits au rang de «travailleurs kleenex» qu’on jette une fois qu’ils ont bien servi. En dix ans par exemple, l’intérim a augmenté de plus de 130%, le nombre de CDD de plus de 60% et les CDI de seulement 2%… Cette réalité est sous nos yeux. Et tout est fait pour qu’on ne la voie même plus, meilleure façon de l’accepter, comme si elle tombait du ciel. Hors tout cela procède de choix politiques, économiques et sociaux. C’est cela qui m’a semblé important de dire à partir d’une enquête de terrain sans concession retraçant la réalité, aussi dérangeante soit-elle, telle qu’elle est…

Actuchomage : Vous semblez très engagé en faveur du service public, plus particulièrement en matière d’information. Le service public de l’audiovisuel est-il aujourd’hui menacé ? Comment, par qui et pourquoi ?

Jacques COTTA : Je suis d’abord attaché aux services publics en général en tant que citoyen, car cela implique une certaine conception de la vie en société. Je crois en effet important de préserver les services qui doivent permettre, indépendamment de ses propres moyens, de bénéficier de la santé, de l’éducation, des transports, etc… Les services publics sont essentiels, sauf à considérer que ceux qui ne peuvent accéder au secteur privé n’ont qu’à se priver, en silence de préférence… Les services publics sont un des facteurs de redistribution sociale à partir du moment où ils sont protégés de la sphère marchande qui ne profite jamais à ceux qui ont peu de moyens.
Journaliste, je suis aussi très attaché au service public. Dans le domaine de l’information il devrait à priori être le mieux placé pour répondre à un souci de pluralisme et d’impartialité, plus généralement de qualité, cela parce qu’il devrait être détaché des «contingences» matérielles liées aux grands groupes financiers et des pressions politiques liées aux différents groupes qui se trouvent au pouvoir ou à sa lisière. L’importance du service public pour assurer le pluralisme est d’autant plus actuelle que la presse d’opinions connaît une crise sans précédent. Le service public devrait donc être un des lieux privilégiés pour permettre l’expression de courants de pensée réduits de fait au silence médiatique. La vie montre que malheureusement les choses sont beaucoup plus compliquées. Quelques faits récents sont illustratifs. Par exemple le déplacement de l’émission de Daniel Mermet sur France Inter qui a suscité des réactions au-delà de toutes les prévisions. Ou la qualité des programmes sur les chaînes publiques qui rendent parfois difficilement compréhensible l’exigence d’augmentation de la redevance pour des millions de citoyens qui ne voient pas la différence avec les chaînes commerciales…

Actuchomage : En dehors de vos activités professionnelles, vous vous investissez dans des initiatives alternatives et militantes, notamment au travers du site Internet Info-Impartiale. D’où vous vient cet engagement ? Est-il suivi par les journalistes du service public de l’audiovisuel ?

Jacques COTTA : Ce site est né au moment du référendum européen du 29 mai 2005. Nous avions alors été quelques-uns à être très choqués au sein des chaînes de service public par le traitement unilatéral en faveur du OUI, et l’avions fait savoir en initiant l’appel «le NON censuré dans les médias, ça suffit !». Nous avions alors récolté par l’intermédiaire d’Internet plus de 18.000 signatures en quelques jours et avions organisé des délégations auprès des responsables alors en poste à France télévision, au CSA où nous avions été reçus par Dominique Baudis, et à l’Elysée. Au lendemain de la victoire du NON, nous avons envoyé un message aux signataires pour les remercier. En quelques jours plus de 5.000 nous ont suggéré de maintenir un lien entre nous au cas où… D’où le site «Pour une Info Impartiale et Pluraliste». Dire que «notre site est suivi par les journalistes du service public de l’audiovisuel» serait sans nul doute abusif. Mais nous savons qu’en cas de nécessité, comme cela fut au moment de la bataille référendaire, notre site pourra constituer un outil majeur au service de la bataille démocratique pour que les voix puissent s’exprimer et tous les sons être entendus.

Actuchomage : Au début de l’année 2005, vous avez dénoncé (avec d’autres) l’omniprésence dans les médias des thèses en faveur du OUI au référendum de 2005, en allant même jusqu’à organiser une pétition (remise à Jacques Chirac). Ainsi avez-vous été un des premiers à «tirer la sonnette d’alarme» contre une orientation médiatique partisane. Pensez-vous avoir contribué à la victoire du NON le 29 mai 2005 ?

Jacques COTTA : Je crois qu’il ne faut pas trop prêter à la bataille médiatique pour expliquer la victoire du NON. La réalité sociale, la précarité, la pauvreté du travail, les attaques contenues dans le texte constitutionnel, la «concurrence libre et non faussée», les menaces sur les services publics et bien d’autres choses ont beaucoup plus contribué à la mobilisation générale et à la victoire du NON. Notre activité a sans doute fait plaisir à tous ceux qui désespéraient des médias. C’est déjà pas mal…

Actuchomage : Vos divers engagements ne doivent pas vous valoir que des amis dans votre cadre professionnel : Comment gérez-vous cette situation ? Notez-vous des évolutions depuis 2002 ? De quel ordre ?

Jacques COTTA : Non, mon attachement pour le service public ne m’attire aucune inimitié particulière. Nous sommes heureusement assez nombreux à nous reconnaître dans les mêmes valeurs. Peut-être certains thèmes qui pourraient être traités ne réjouissent pas tout le monde. Sans doute est-il plus difficile selon la période d’aborder telle ou telle question. Cela a toujours été le cas. L’obstination peut parfois produire quelques inimitiés. Mais peu importe. Ce qui compte est d’être inattaquable sur le plan professionnel. Le reste n’a que peu d’importance.

Actuchomage : Comment la campagne des élections de 2007 s’engage-t-elle ? Trouvez-vous que les médias dans leur ensemble, et plus particulièrement ceux du service public, remplissent leurs obligations ? Seriez-vous prêt, une nouvelle fois, à alerter l’opinion sur d’éventuelles dérives ?

Jacques COTTA : Il est à peu près clair pour tout le monde que les médias sont déjà sur la ligne jaune. L’omniprésence de Nicolas Sarkozy par exemple, ou la désignation médiatique de Ségolène Royal avant même que les militants socialistes se soient prononcés, sont de bons exemples de quelques dérives d’ores et déjà en marche. Tout citoyen peut le constater, et cela ne concerne loin s’en faut pas que la télévision ou la radio. La presse écrite n’est pas à la traîne. Le 29 mai a-t-il fait office de vaccin ? Pouvons-nous espérer qu’aujourd’hui la protestation sera, si cela s’accentue, plus rapide et plus générale que lors du 29 mai ? Déjà des voix hier silencieuses s’élèvent. Le président de l’UDF par exemple, François Bayrou, a des propos très durs sur les médias. De toutes les façons notre site tiendra la place qu’il devra prendre, fidèle à sa raison d’être, le combat pour l’impartialité – c'est-à-dire le traitement des faits tels qu’ils sont - et le pluralisme – le respect du droit d’expression de chacun et la non confiscation de la parole par seulement quelques-uns.

Actuchomage : Revenons-en, si vous le voulez bien, au livre que vous signez : «7 millions de pauvres en France, la face cachée des temps modernes». La pauvreté gagne du terrain : Comment et pourquoi en sommes-nous arrivés-là ?

Jacques COTTA : C’est toute la question. On aimerait bien nous faire croire que la pauvreté découle d’un ordre naturel des choses. C’est faux. Les travailleurs pauvres sont le produit d’une volonté politique, le produit d’un système. Quelques chiffres, ou faits, permettent de bien illustrer cette réalité.
Prenons les retraites : les pensions baissent alors que la France n’a jamais été aussi riche qu’aujourd’hui. On nous dit que nous n’aurions pas les moyens de payer les retraités alors que le système par répartition a été instauré au lendemain de la seconde guerre quand la France était à genoux. On voit bien là que l’argument ne sert qu’à justifier les coupes sombres dans les pensions au risque d’oublier l’histoire ou de la falsifier. La situation des petits retraités n’est pas une fatalité. Elle est le produit de la volonté d’aider à faire prospérer le capital financier à travers les fonds de pension, ni plus, ni moins.
Prenons le travail. L’augmentation de la précarité est voulue, car plus rentable que le contrat à durée indéterminée pour les employeurs. Là encore, pas de fatalité. La volonté de mettre en place le CPE après le CNE montre bien qu’il ne s’agit pas là d’un procès d’intention.
Prenons la santé. Le déremboursement de dizaines de médicaments, l’augmentation du forfait hospitalier, et quelques autres mesures augmentent les difficultés pour les travailleurs pauvres en particulier. On nous parle de déficit de la sécurité sociale. Nous n’aurions donc pas le choix. Cela ne tient pas. Il suffit de voir le hold-up général fait sur les comptes de la sécurité sociale pour réaliser que loin d’être déficitaire, elle serait en réalité ultra bénéficiaire si ses comptes n’étaient ponctionnés par les exonérations de «charges patronales» ou autres sommes non versées qui grèvent son budget : taxe sur le tabac, taxes sur l’alcool, assurances auto, taxes sur les industries polluantes, etc…
Prenons la question des services publics. On nous dit qu’il faut privatiser, qu’il ne peut en être autrement. Mais pourquoi ? Parce que le traité de Maastricht qui limite le déficit public à 3% maximum l’impose. Mais au nom de quoi, sinon de la volonté politique de le respecter, faudrait-il se plier à ce traité et ne pas le remettre en cause ?
Enfin, pour en finir avec quelques exemples, un petit dernier qui me semble emblématique. Durant mon enquête, je suis allé dans les foyers d’urgence, les centres de distribution de nourriture, les bains douches, les hôtels au mois, à Paris, dans quantités de lieux que je raconte, et dans une série de régions. Un endroit a été particulièrement riche, les grandes surfaces. J’ai ainsi abordé avec quelques caissières d’une enseigne bien connue la grève qu’elles avaient suivie massivement pour obtenir 1€50 de plus par ticket restaurant. Refus de leur direction. Quelques mois plus tard, leur patron est remercié. Il empoche alors plus de 38 millions d’euros d’indemnités. La répartition des richesses ne laisse rien au hasard. Je l’ai constaté dans mon enquête et je crois démontré dans mon livre.

Actuchomage : Vous évoquez la «neutralité bienveillante» des associations caritatives, qu’entendez-vous par-là ?

Jacques COTTA : Le caritatif est l’expression des manques de l’Etat. Les droits au logement, à la nourriture et au travail sont des droits constitutionnels. Il ne me semble pas normal que le caritatif doive se substituer à l’état pour aider à soulager la souffrance de travailleurs qui ne s’en sortent pas. Heureusement que le caritatif existe pour ceux qui ponctuellement peuvent en bénéficier. Mais cette existence ne saurait nous faire oublier que rien n’est ainsi réglé. Le mal est ailleurs, dans l’organisation sociale, politique et économique de la société.

Actuchomage : Dans votre livre, vous évoquez la violence et l'individualisme des rapports entre pauvres. Pensez-vous que les pires ennemis des pauvres sont les pauvres eux-mêmes ?

Jacques COTTA : La pauvreté concentrée créé en général des tensions importantes que j'ai pu vérifier au cours de mon enquête, notamment dans les foyers la nuit, mais aussi sur les marchés lorsque les "glaneurs" convoitent parfois les mêmes prises : ici un cageot de salades défraîchies, là quelques fruits abandonnés par leur vendeur... Cette tension est bien compréhensible et d'autant plus exacerbée que s'opposent des travailleurs pauvres encore impliqués dans des relations sociales et liés à la notion de travail à des pauvres en perdition totale, plus clochardisés et souvent alcoolisés. Mais lorsque des travailleurs pauvres sont confrontés les uns aux autres de façon durable, par exemple dans quelques logements de fortune ou encore dans les tentes fournies par MDM, c'est la solidarité qui joue à plein. Ils ne font ni la différence d'origine, ni de langue, ni de nationalité. Ils sont dans la même galère et ensemble veulent en sortir.
Mais cela est-il bien propre aux travailleurs pauvres ? N'est-ce pas en fait ce qui concerne les travailleurs tout court ? Dans l'entreprise, lorsque des intérêts communs sont en jeu, le combat est souvent commun aussi... Un "sens de classe", aurait-on dit en d'autres lieux et d'autres temps, toujours d'actualité, en déplaise aux modernistes et bobos de tous bords...

Actuchomage : On assiste à une véritable campagne médiatique anti-pauvres, au travers d’allusions directes et indirectes, et par la sortie de livres tendancieux (comme celui de Thierry F., le «profiteur repenti» qui s’est exprimé à visage caché au JT de France 2). Le gouvernement distille un discours anti-pauvres et anti-chômeurs (fainéants, parasites, responsables de leur situation…), serait-ce en vue de préparer l’opinion publique à la mise en œuvre d’une «réforme» comparable au plan Hartz IV (appliqué en Allemagne), si la droite conserve le pouvoir en 2007 ?

Jacques COTTA : Avant de savoir pourquoi, il faut rappeler que ces campagnes sont crétines et ne peuvent satisfaire que des décérébrés. Comment croire en effet que les travailleurs pauvres, les RMIstes ou autres allocataires le sont par plaisir ? C’est à la fois idiot et méprisant. Chaque système génère bien sûr sa propre perversion. Mais là, c’est minime. Si certains à la marge préfèrent le chômage au boulot, l’immense majorité, la quasi-totalité des personnes concernées préfèreraient travailler au lieu de recevoir quelques sommes permettant juste de survivre. Je ne sais quelle est l’intention réelle de ceux qui propagent ces inepties selon lesquelles les travailleurs pauvres en général, les pauvres tout court seraient responsables de leur pauvreté. Mais l’hypothèse soulevée dans votre question est plausible. Puisqu’ils ne seraient pauvres que par volonté, qu’ils n’auraient d’autre ambition que de parasiter le système, il suffirait donc de couper les vivres. Donc tailler dans les retraites, dans les allocations chômages, dans le RMI, etc, etc…
Vous parlez de la situation dans l’éventualité où la droite serait maintenue au pouvoir. Je voudrais ici vous rapporter quelques propos d’un hébergé sous une tente de «médecins du monde» sur les bords de Seine. Cet homme, un ancien chef d’entreprise qui maintenant va de petits boulots en petits boulots, me rappelait que les autorités s’étaient engagées l’été dernier, lors du déménagement des tentes du centre de Paris, à verser 7 millions d’euros pour le logement d’urgence. Il s’inquiétait du fait que les associations n’avaient pour le moment rien vu venir. Et me disait pour conclure : «Delanoë, c’est la gauche. Ca devrait être social. Il nous a évacué. On attend pour la suite. On verra bien s’il ne s’agit que de parole de politicien ou si c’est sérieux. Sarkozy, c’est la droite. On n’y croit pas, mais peut-être que pour se donner l’air, il pourrait céder sur pas mal de choses, vu qu’on est en période électorale… On verra bien». Conclusion à mon avis, pour la gauche notamment : si elle veut être prise au sérieux, il faudrait qu’elle traite ces réalités sérieusement, en partant des faits, et en tentant quelques réponses utiles : quel plan de construction de logements pour répondre à la demande, quel plan pour l’emploi, quelles mesures pour le salaire…

Actuchomage : Alors, est-il aujourd'hui réellement plus avantageux de vivre des revenus de l'assistance que de ceux du travail ?

Jacques COTTA : Dans les faits, non. Je crois vous avoir donné quelques éléments qui justifient ma réponse. Mais un autre critère, largement exprimé par toutes mes rencontres durant mon enquête, me fait dire doublement non ! C’est la dignité. Les travailleurs pauvres ne font pas l’aumône. Ils ne mendient pas ! Tous insistent. Ils sont dignes et veulent le rester. Et pour cela veulent travailler, ni plus, ni moins ! A nouveau, à quel point peuvent être ignorants, stupides et méprisants ceux qui s’imaginent que plus de 7 millions de personnes au bas mot en France peuvent vivre dans la pauvreté par choix et par plaisir !

Actuchomage : Avez-vous entendu parler du «revenu universel garanti» ou «revenu de base inconditionnel» ? Si oui, qu’est-ce que ça vous inspire ? Que proposeriez-vous pour lutter efficacement contre la pauvreté ?

Jacques COTTA : Cela me fait penser à la sécurité sociale universelle dont la CGT aujourd’hui se réclame. Cela me semble extrêmement grave pour une raison au moins : c’est la déconnection du salaire ou de la sécurité sociale de l’emploi et donc du travail. C’est l’acceptation du petit boulot à la place de l’exercice du métier, de la précarité à la place de la stabilité, de l’assistance à la place du revenu. C’est l’adaptation à un système qui ne peut que broyer un peu plus le travail au profit du capital. Dans mon livre, j’ai d’ailleurs voulu aborder dans la dernière partie «Questions à ceux qui nous gouvernent ou qui en ont la volonté» quelques pistes qui je crois devraient être explorées pour assurer travail, salaire et logement aux millions qui en sont aujourd’hui exclus.


Propos recueillis par Yves BARRAUD et Sophie HANCART (via e-mail)

© Actuchomage – Octobre 2006
Mis à jour ( Samedi, 17 Octobre 2015 13:57 )  

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